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Une fille pas comme les autres

La femme de Karim Keïta a été, selon plusieurs responsables du Rpm, la principale actrice de la victoire de son père. C’est elle qui serait allée demander à IBK de peser de tout son poids pour que son père soit élu président de l’Assemblée nationale.

Elle avait auparavant échangé avec certains responsables du Rpm qui étaient tous d’accord avec elle et contre la candidature d’Abdrahamane Niang.

Certains députés Rpm disaient même que c’est ce dernier qui a mis en retard la désignation de leur candidat pour le perchoir. Car, c’est le mardi dans la nuit, qu’Issaka Sidibé a été désigné par le Rpm au détriment d’Abdrahamane Niang. L

equel a été informé de cette décision dans la même nuit. Le plus vieux député de l’Assemblée nationale actuelle n’avait alors qu’un seul rôle à jouer : diriger le bureau d’âge pour l’élection du président de l’Assemblée nationale.

Katio vise la questure

Après avoir gagné la bataille du perchoir pour son beau-père, le fils d’IBK Karim Keïta n’a toujours pas dit son dernier mot. Actuellement, il vise le poste de questeur de la nouvelle Assemblée nationale. À défaut, il se contenterait du poste de premier vice-président.

Karim Keïta dit Katio est en train de se préparer dans les coulisses pour cette bataille. D’après certains députés, il a la capacité intellectuelle de gérer la questure. Car, disent-ils, c’est un jeune brillant et très doué dans les questions de gestion financière.

Sauf qu’il n’est pas économiste. Cette éventualité ne réjouit guère certains Tisserands qui estiment que «trop, c’est trop». Ceux-ci maronnent dans les coulisses sans jamais pouvoir manifester officiellement leur mécontentement, surtout pas en présence de Katio, lui-même !

Mariko sauve Isaac

On peut ou pas aimer Oumar Mariko, mais le mercredi 22 janvier 2014, lors de la rentrée parlementaire, c’est sa candidature qui a sauvé Isac Sidibé.

Sans quoi on aurait assisté à une nomination. Mariko a été très courageux en se portant candidat au perchoir. Suivant ses propres propos, «ça ne doit étonner personne, parce que, dit-il, je suis un homme politique qui aspire à gérer le pays par la voie démocratique».

À l’en croire, sa candidature était un signal pour ceux qui pensaient qu’il ne cherchait pas un poste. Avant de reconnaître «que le travail parlementaire est une question de poids, de majorité.

L’opposition ne peut pas gagner face à la majorité qui bénéficie de plus de chances de faire passer ses décisions». En tout cas, Mariko a crédibilisé l’élection d’Isac Sidibé.

source : le reporter

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