Tag Archives: parlement malien

Impensable ! Même les députés élus dans les localités du Nord rechignent à s’y rendre. A ce rythme, il ne faudrait pas s’attendre à voir les missions parlementaires en cours sillonner cette partie du pays. Le prétexte est tout trouvé : l’insécurité.

La réclamation de la tête du Premier ministre Moussa MARA par le RPM, si elle est légitime du point de vue des principes démocratiques, elle est non seulement tardive, mais également inopportune. Le contexte actuel du pays ne s’y prête guère.

La motion de censure, déposée vendredi dernier par l’opposition contre le gouvernement malien dirigé par le Premier ministre Moussa Mara, a été rejetée mercredi par les 123 des 147 députés de l’Assemblée nationale du pays.

En plus de deux députés de la majorité présidentielle, les 22 députés de l’opposition malienne ont voté pour la motion de censure contre le gouvernement du Premier ministre Moussa Mara. Mais il fallait les deux-tiers des 147 députés, c’est-à-dire 98 députés, pour l’adoption de la motion. Elle a donc été ...

COMMISSION SPECIALE D’ENQUETE PARLEMENTAIRE SUR LES EVENEMENTS SURVENUS A KIDAL,LES 17 – 18 ET 21 MAI 2014

L’information a fait le tour de la capitale depuis lundi soir. En effet, ce jour-là, une réunion du Rpm a décidé de proposer le nom de Karim Kéïta, le fils du Président IBK, au poste de président de la Commission de la Défense Nationale de la Sécurité et de la ...

Après l’élection du président de l’institution, nos illustres députés fraichement élus à l’assemblée nationale étaient convié ce jour 28 janvier 2014 pour l’adoption du règlement intérieur de l’institution.

La femme de Karim Keïta a été, selon plusieurs responsables du Rpm, la principale actrice de la victoire de son père. C’est elle qui serait allée demander à IBK de peser de tout son poids pour que son père soit élu président de l’Assemblée nationale.

Est-ce la fin d’une expérience politique de dix ans ? La vie politique malienne était caractérisée par l’absence d’opposition parlementaire, « le consensus politique », et tout le monde était dans le même camp.

Au Mali, c’est le sport favori à l’Assemblée nationale qui vient à peine de s’installer : la « transhumance ». Un candidat élu sous une étiquette change de camp une fois en place. Ils sont déjà dix dans ce cas.