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Des affrontements entre des hommes de la Coordination des mouvements de l’Azawad, la CMA et d’autres du Gatia ont éclaté ce mardi 9 août dans la région de Kidal.

Alors qu’on s’attendait à être agréablement surpris, le forum de Kidal, prévu débuter le 27 mars, ressemble de plus en plus à un spectacle déjà vu, mis en scène en coulisse par le HCUA.

Malgré les provocations, le GATIA a fièrement rejoint Kidal ces derniers jours, avec en tête de cortège le loyal général Gamou.

Le Gatia a repris lundi la ville de Ménaka aux rebelles du MNLA qui la contrôlaient depuis près d’un an. Joint par téléphone, Fahad Ag Almahmoud, le secrétaire général de cette milice touarègue proche du gouvernement, affirme que cette offensive s’est produite « de façon spontanée » et qu’elle ne remet pas ...

Après avoir perdu ses bases-arrières à Ouagadougou à la chute de Blaise Compaoré, le MNLA, par qui tout notre malheur est arrivé, est en passe de perdre son dernier bastion sur le territoire même s’il compte sur ses alliés du HCUA et du MAA, visiblement pas très forts pour combattre ...

Le Groupe autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia) – proche du pouvoir malien – a pris lundi le contrôle de Ménaka, dans le nord du Mali, selon l’AFP. Une localité jusqu’ici partiellement entre les mains de la rébellion.

Un groupe touareg favorable à Bamako a pris aujourd’hui le contrôle d’une localité du nord du Mali jusqu’alors partiellement contrôlée par la rébellion, qui a dénoncé « une rupture manifeste du cessez-le-feu par le gouvernement ».

Le 29 mars, de violents combats ont à nouveau opposé des combattants du MNLA, voulant cacher leur faiblesse par quelques faits d’armes, et du GATIA dans les environs d’Ansongo.

A trop tirer sur la corde, elle se casse, dit l’adage. Le MNLA vient de l’apprendre à ses dépens suite à la défection de Mohamed Attaher Ag Mohamed El Mehdi Al Ansari, fils aîné du défunt Amenokal de la tribu des Kel Antessar. Le désormais ex-combattant et ex- membre influent ...

À Tabankort, où ils s’interposaient entre groupes loyalistes et rebelles, les soldats de l’ONU ont fini par tirer sur ces derniers. Puis, à Gao, sur des manifestants qui s’en prenaient à leur camp. Sont-ils dépassés ?