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Une personne a été tuée hier et six enlevées dans le nord du Mali lors d’une attaque attribuée à la rébellion à dominante touareg, a-t-on appris vendredi auprès d’un élu local, d’un habitant et de la force de l’ONU au Mali (Minusma).

Un avocat et un juge hors du prétoire sont comme le défenseur et l’attaquant hors du terrain de foot : ils échangent sur le match, sur ses péripéties et sur la prochaine rencontre.

La coordination des mouvements de l’Azawad qui regroupe les rebelles du nord Mali pourrait subir des sanctions ciblées de la communauté internationale notamment l’ONU et les Nations unies en cas de refus de signer les accords de paix avec Bamako.

L’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM) fêtera cette année à l’instar des autres travailleurs du monde le 1er mai consacré à la journée internationale du travail.

Une personne a été tuée hier et six enlevées dans le nord du Mali lors d’une attaque attribuée à la rébellion à dominante touareg, a-t-on appris vendredi auprès d’un élu local, d’un habitant et de la force de l’ONU au Mali (Minusma).

Le Djoliba AC et trois autres clubs, le CO Bamako, le Centre Salif Kéita et l’Avenir AC de Tombouctou qui ont accusé 3 forfaits lors des 6e, 13e et 14e journées, sont déclarés « forfait général pour la suite de la compétition ».

La communauté internationale s’inquiète d’une menace sur les espoirs de paix au Mali, au lendemain d’une attaque de groupes progouvernementaux contre la rébellion, qui a finalement annoncé son intention de parapher l’accord d’Alger près de deux mois après Bamako et ses alliés. «J’exhorte les parties à cesser immédiatement les hostilités ...

Dans le nord du Mali, la tension monte sur le terrain à mesure que la date fixée pour la signature d’un accord de paix, le 15 mai prochain, approche. Lundi 27 avril, des groupes armés pro-gouvernementaux se sont emparés de la localité de Ménaka, jusqu’alors aux mains des rebelles.

Bamako – Deux membres de la garde nationale malienne, une composante de l’armée, ainsi qu’un enfant, ont été tués mercredi matin à Goundam (80 km de Tombouctou) par des hommes armés, a appris l’AFP de sources concordantes.

Le 15 mai prochain sera sans doute la date de signature de l’accord de paix et de réconciliation et les plus hautes autorités n’envisagent plus aucune possibilité de réouverture les négociations.