Tag Archives: Crise au nord du Mali

Les négociations entre Bamako et les groupes armés du nord du Mali sont au point mort depuis des semaines. L’accord de Ouagadougou prévoyait l’ouverture de discussions entre les deux parties pour début novembre 2013.

La Tribune publie chaque jour des extraits issus de l’émission « 28 minutes », diffusée sur Arte. Aujourd’hui, Mali, Centrafrique, le retour des guerres coloniales françaises ?

Trois casques bleus ont été blessés ce week-end au cours d’une attaque dans le nord du Mali, a confirmé lundi un porte-parole de l’ONU.

L’essentiel de la conférence de presse de François Hollande, cet après-midi, devrait porter sur les sujets les plus essentiels du moment, comme l’économie, la lutte contre le chômage et l’actualité internationale.

Comment organiser au Mali le retour des dizaines de milliers de réfugiés maliens qui se trouvent encore aujourd’hui dans les pays voisins ? La question a été évoquée cette fin de semaine lors de la visite officielle du président Ibrahim Boubacar Keïta à Nouakchott.

Le 13 janvier 2013, François Hollande annonçait le déclenchement de l’opération Serval au Mali. Un an plus tard, le général Vincent Guionie, l’actuel n°2 des forces françaises à Bamako, se félicite du succès de cette intervention. Maintenant nous attaquons une phase de stabilisation « Général Vincent Guionie »

Un an après le déclenchement de l’intervention militaire française au Mali, des critiques acerbes commencent à se faire entendre.

Malgré les succès de l’opération Serval lancée par l’armée française le 11 janvier 2013, pour contrer l’avancée des forces djihadistes, le Mali, miné par la corruption, le chômage et les revendications indépendantistes des Touaregs, reste à reconstruire.

Il y a exactement un an, jour pour jour, la petite localité de Konna a été attaquée par la coalition de djihadistes et de narcotrafiquants qui occupaient les régions nord du Mali. Dirigés par Iyad Ag Ghaly et Abou Zeïd, ces terroristes projetaient de marcher ensuite sur Bamako.

Les responsables dudit mouvement disent être prêt à reprendre les armes si le président Ibrahim Boubacar Kéita (IBK) et son gouvernement «ne reprennent pas le dialogue inclusif». Ils l’on fait savoir par la voix de leur porte-parole, Mossa Ag Attaher, lors d’une conférence de presse tenue à Ouagadougou ce mercredi ...