Le 7 mars, cinq personnes – dont un Français – ont été tuées dans la capitale malienne, jusque-là épargnée par le terrorisme.
Le lendemain, un casque bleu et deux enfants sont morts dans l’attaque d’un camp de la Minusma dans la région de Kidal. Pour Le Pays, “les djihadistes entendent réaffirmer leur détermination.
Ce au moment où Boko Haram joue sa survie et où les islamistes du Nord-Mali nourrissent des craintes à cause des difficultés que connaît le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) sur la question du statut du Nord-Mali.”
Le quotidien burkinabé appelle la communauté internationale “à venir se rattraper” : “Une des erreurs commises lors de l’intervention militaire de la France et de ses alliés, c’est d’avoir ‘enterré le cadavre en laissant ses pieds dehors’, puisque le Nord-Mali n’a pas été entièrement libéré.”
Source : courrierinternational